Formalités
Papiers
Les voyageurs se rendant en Espagne, mineurs inclus, doivent être en possession d’une carte nationale d’identité ou d’un passeport (ressortissants de l’UE).
Santé
Se munir de la carte européenne d’assurance maladie, à demander à votre caisse d’assurance maladie au moins 15 jours avant le départ. Les conditions sanitaires sont analogues à celles de la France.
Climat
Majorque, avec les autres îles des Baléares bénéficient de huit mois de belles et magnifiques journées. Ce qui laisse aux visiteurs la liberté de choisir le moment qui leur convient pour se rendre à Majorque et profiter du soleil. Les meilleurs moments pour se rendre à Majorque, loin de la horde de touristes, tout en profitant du beau temps, sont les saisons intermédiaires : avril-mai et septembre-octobre.
Alors, quelle est la meilleure période pour partir à Majorque ? Voici quelques données supplémentaires pour vous aider dans votre décision :
A Majorque, le climat est favorable partout durant Avril, Mai, Juin, Juillet, Août, Septembre, Octobre et Novembre. Les mois les plus favorables au niveau du climat pour visiter Palma de Majorque sont Avril, Mai, Juin, Juillet, Août, Septembre, Octobre et Novembre. En moyenne, les mois les plus chauds à Palma de Majorque sont Juillet et Août, et les mois les plus froids sont Janvier et Février. Les mois les plus favorables pour la baignade à Palma de Majorque sont Juin, Juillet, Août, Septembre et Octobre.
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Divers
Quelques mots sur Majorque
Les clichés abondent sur la plus grande île des Baléares. Et pourtant, Majorque, c’est beaucoup plus que le soleil, les plages et les hôtels.
Au cœur de l’île de Majorque paressent des villages entourés de cultures, d’oliviers, d’amandiers tapissant en février les paysages de leurs blancs bouquets. La capitale de l’archipel, Palma de Majorque, recèle, elle, de bien jolies surprises derrière les murs de sa vieille ville.
Quant à la virevoltante serra de Tramuntana, classée au Patrimoine mondial de l’Unesco, elle envoûte littéralement. Soulignant toute la côte ouest de l’île, elle s’y déverse à grands coups de falaises et de sommets accidentés, culminant jusqu’à plus de 1 000 m au-dessus des eaux. Là, aux quelques villes et villages des hauteurs, entourés de plantations d’agrumes, répondent des ports croquignolets nichés dans des criques grandes comme des mouchoirs de poche – que l’on rejoint par des routes échevelées contorsionnées en virages innombrables.
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